C'est vrai que la forme juridique est primordiale, mais il ne faut pas non plus oublier l'impact des pactes d'actionnaires ou d'associés. Ça peut complètement redéfinir les règles du jeu, indépendamment des statuts de la boîte. Genre, droit de préemption, clauses de sortie conjointe, etc. C'est souvent là que les choses se corsent...
Complètement d'accord avec Aritmetica. Prévoir des mécanismes de résolution amiable, c'est pas juste une option, c'est de la bonne gestion. On est pas obligé de finir au tribunal pour un désaccord. Surtout que les procédures, ça prend un temps fou et ça coûte un bras.
LarpSpirit, quand je dis "suffire", je veux dire que si ton but premier, c'est de faire fructifier ton argent sans t'investir activement dans la gestion de la boîte, alors l'actionnariat remplit ce rôle. Cça implique généralement moins de responsabilités (pas de participation aux décisions stratégiques, par exemple), mais aussi un potentiel de gains qui dépendra surtout de la performance de l'entreprise et des dividendes versés. Niveau risques, c'est variable, mais en général, tu ne perds "que" le montant de ton investissement initial. Et oui, moins de paperasse et de réunions barbantes, c'est un avantage non négligeable ! 😉
Bon, je reviens donner des news après avoir potassé la question et surtout, après avoir discuté avec mon comptable (parce que bon, faut pas déconner avec ça 😅). En gros, j'ai opté pour un mix des deux, en fait. Une partie en actions pour le côté "placement" comme disait Edelmut, et une autre en parts sociales pour avoir mon mot à dire (et accessoirement, éviter les réunions barbantes 🤭, mais ça, c'est un bonus). Merci à tous pour vos conseils, c'est plus clair maintenant !